mardi 4 mai 2010

Les Zizi

Les Repetto

Par bess

Seule marque de danse connue du grand public, Repetto est la chaussure représentante du Dandy de la fin du dernier siècle.
Gainsbourg ne jurait que par cette marque : Repetto. Toujours blanches et toujours le même modèle, le fameux modèle Zizi. Il avait coutume de dire ‘Repetto à perpette’.
Plates et tout en cuir, elles sont certes un peu chères mais incontournables.

La ballerine Repetto est toujours dans l’air du temps.

Repetto est née en 1947 des doigts agiles de Rose Repetto à la demande de son fils, le danseur et chorégraphe Roland Petit qui lui avait demandé de lui confectionner des chaussons de danse. Pour les rendre plus confortables, Rose Repetto a l’idée de coudre la semelle du chausson à l’envers et de la retourner ensuite, c’est-à-dire coudre en dessous de la semelle le cuir qui entoure le pied, et non l’inverse comme on fait habituellement, ce qui procure au danseur un confort jusque-là inconnu

Roland Petit surpris par ce nouveau confort, fit connaître ces nouveaux chaussons de danse à ses amis dont le célèbre Nouriev. Du fait de l’engouement de tous les amis de Roland Petit dont le célèbre Nouriev, Rose Repetto abandonne son café de la butte Montmartre pour se consacrer exclusivement à la fabrication de ses chaussons de danse. Elle installe son atelier rue de la Paix à Paris où tous les danseurs et danseuses de l’Opéra viennent s’approvisionner. Rose Repetto adapte ses ballerines en fonction des besoins de chaque danseur sans pour autant se limiter au secteur de la danse classique.

Repetto se fait rapidement une réputation d’excellence dans le milieu. C’est ainsi que la marque Repetto, chaussures de danseur, fut créée.

En 1956, Brigitte Bardot, immense star de l’époque, s’apprête à tourner « Et Dieu créa la femme » de Roger Vadim. La jeune actrice avait débuté dans la danse et demande à Rose Repetto de lui créer une paire de ballerines pour la ville, lui permettant de virevolter avec sensualité dans ce film devenu culte. Brigitte Bardo, avec ce flm, devient le fantasme de toute une génération et emmène avec elle la marque Repetto.
Cette ballerine de ville, le modèle ‘Cendrillon’ devient le symbole de l’élégance branchée parisienne.

Ce n’est qu’en 1969, que Gainsbourg s’approprie les Repetto, avec le modèle Zizi.
En pleine année érotique, il se veut élégant (entre nous, il est plus dandy qu’élégant). Il porte des costumes à rayures tennis, avec double boutonnage permettant d’appuyer la ligne, pantalon droit et net. Mais il cherche des « gants pour ses pieds », car il avait horreur de marcher. Jane Birkin lui fait découvrir la marque. Il glisse son pied nu dans le chausson de jazz blanc au cuir tout doux créé par Rose Repetto pour sa propre belle-fille, Zizi Jeanmaire.
Il dira par la suite ‘Repetto à perpet’ !’. Il est fort consommateur de ces zizi près de 30 paires par an !

Cependant, ce qui a permis à Repetto d’être ce qu’il fut jusqu’en 1984, c’est la personnalité de sa créatrice, qui savait allier comme personne modernité, excellence et esthétique. Lorsque celle-ci décède, la magie s’estompe et la société s’enlise. Les modèles ont perdu de leur actualité, la griffe vieillit mal, l’aura des stars d’antan ne suffit plus à porter la marque. Les ballerines Repetto ne sont absolument plus un accessoire mode, de plus au niveau professionnel les modèles n’ont pas évolué et les danseurs les délaissent.

Issey Miyaké va remettre au goût du jour la célèbre ballerine de Brigitte Bardot. Puis pour fêter ses 60 ans, la marque de chaussures Repetto a décidé de créer une fondation dont l’objectif est de soutenir l’action de l’Unesco en faveur de l’enfance défavorisée.
La première pierre de cette collaboration a été la réinterprétation des modèles phares de la marque par une soixantaine d’artistes, en vue d’une vente aux enchères en octobre 2008. Catherine Deneuve, Jean-Paul Gaultier, Vanessa Paradis et Andrée Putman sont quelques unes des stars qui se sont prêtées au jeu, sans oublier Brigitte Bardot, l’égérie historique de la marque.
Repetto a aussi choisi d’équiper des écoles de danse aux quatre coins du monde de chaussures. « Chacun de ces enfants ne deviendra pas une étoile de la danse, mais tous se souviendront de la main tendue, et seront convaincus que, grâce à leur volonté, tout est possible grâce à la solidarité, » a déclaré Alicia Alonso, la marraine de ce projet.

Ces modèles uniques de Jean-Paul Gaultier, Rei Kawakubo, André Putman, Chantal Thomass, … seront à partir de début octobre dans la célèbre boutique de la rue de la Paix. En attendant, Repetto est désormais l’une des marques les plus vendues dans les rayons des grands magasins chics de Tokyo, de New York, de Londres, de Paris.

Gainsbourg a quand même fait bonne école, et nous pouvons retrouver ces fameuses zizi aux pieds d’une bonne partie de la jeune scène française, de Mathieu Chedid à Bénabar ou Thomas Dutronc.

Pour en savoir plus : www.repetto.com

lundi 15 février 2010

Le Canotier du Marais



A very good shop to go for all our Japanese friends...

11, rue Sainte Croix de la Bretonnerie, 75004 Paris

http://www.canotiersdumarais.fr/

dimanche 7 février 2010

Today in Paris

Raclette;


Then Ladurée Cakes; Elysée et Carré Chocolat


Then Guimauves parfum Coco from Jacques Genin;

mercredi 28 octobre 2009

lundi 26 octobre 2009

L' anniversaire de la Tour Eiffel

15/10/2009
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SPECTACLE DE LUMIERE POUR LES 120 ANS DE LA TOUR EIFFEL
Un rendez-vous nocturne à ne pas manquer !Tous les soirs du 22 octobre* au 31 décembre 2009 à 20h, 21h, 22h et 23hEn point d’orgue de son année anniversaire, la tour Eiffel donne rendez-vous tous les soirs aux Parisiens, aux Franciliens et aux visiteurs de la Capitale pour un spectacle lumineux festif et innovant.Pour la première fois, grâce à un dispositif de projecteurs à leds dernière génération, la façade côté Trocadéro va s’animer de couleurs, mouvements, modulations pour offrir un spectacle totalement surprenant et magique.Le spectacle se veut un véritable rendez-vous parisien incontournable et accessible à tous. C’est pourquoi il est présenté quatre fois chaque soir : dès 20h pour les plus jeunes qui doivent se coucher tôt, puis à 21h, 22h et 23h.Après les 5 minutes de scintillement habituelles, le spectacle d’une durée de 12 minutes, commence par une séquence d’éclairage dynamique évoquant l’extraordinaire chantier de la construction de la Tour. Ensuite, pluies de lumière, découpages par strates, par facettes, effets stroboscopiques, respirations, mélanges de couleurs…. rendront hommage à la Tour et à la magie architecturale et festive qu’elle incarne. Durant tout le spectacle l’éclairage des autres faces du monument varie accompagnant le scénario. Des projections d’images animent le parvis. Cette animation est possible grâce à l’équipement de toute la face Trocadéro de la Tour de plus de 400 projecteurs à diodes électroluminescentes (leds) en trichromie. Outre les effets de lumière multiples et innovants qu’apporte cette technologie, cette dernière offre des performances énergétiques particulièrement intéressantes qui permettent de réduire la consommation d’électricité par rapport à l’illumination traditionnelle de la Tour. C’est une préoccupation constante de la SETE qui a engagé de nombreuses mesures concrètes dans ce domaine (contrat électricité verte, changement des lampes de l’illumination en 2005 permettant une réduction de 30% de consommation d’énergie, logiciel de gestion dédié à la maîtrise des plages horaires de l’éclairage et du chauffage, diminution de la durée du scintillement de 5 minutes au lieu de 10, au début de chaque heure).Spectacle conçu par Bernard Schmitt et Jacques Rouveyrollis, et réalisé par Citelum avec Magnum. Citroën, partenaire historique des illuminations de la tour Eiffel (1925-1934), contribue cette fois encore à l’habillage lumineux de la Tour. A cette occasion, Citroën présentera sa nouvelle C 3 et retransmettra le spectacle le 22 octobre en direct et en exclusivité sur son site internet (www.citroen.fr ou www.citroen.com).La fondation d’entreprise Eiffage est mécène des 120 ans de la tour Eiffel.*Attention, programmation spéciale le 22 octobre : les spectacles auront lieu à 21h, 21h30, 22h, 22h30 et 23h

jeudi 17 septembre 2009

いまときょです。

にほんともあだちにあいますか??

mardi 28 juillet 2009

Reviews


Les palmarès gourmands du Figaroscope
Alice Bosio (Figaroscope)15/07/2009


Le meilleur pain au chocolat
Nous avons testé l'une des viennoiseries préférées des enfants dans vingt-cinq adresses de la capitale. Joli à l' oeil, plaisant au nez, agréable en bouche, fiez-vous à votre première impression lors de l'achat ! Au premier rang, ce sont quatre artisans « de proximité » qui ont raflé la mise. Le gagnant : la boulangerie Julien (Ier).» Voir le palmarès des pains au chocolat

Le meilleur oeuf mayo
Fan de ce hors-d'oeuvre bistrotier, cette enquête est pour vous ! Vingt-trois adresses d'excellence ont été testées sur ce basique du bistrot, parfois même des diplômés de l'Asom - Association de sauvegarde de l'œuf mayonnaise - (voir l'interview de Claude Lebey). Le gagnant, sur le fil, est le Voltaire (VIIe). » Voir le palmarès des oeufs mayo

La meilleure baguette
À l'heure où la tendance est à la « Tradition », nous avons choisi de tester la baguette ordinaire dans vingt boulangeries réputées de Paris, avec la complicité du boulanger Gontran Cherrier. Parce qu'elle constitue la plus grosse partie des ventes et s'adresse au plus grand nombre, il y a aussi beaucoup de noblesse à faire de cette baguette basique un produit de choix. La gagnante se trouve chez Jacques Bazin (XIIe). » Voir le palmarès des baguettes

La meilleure pizza Reine
Au banc d'essai, la Regina, l'une des pizzas les plus consommées en France, testée dans les vingt meilleures pizzerias de Paris : institutions germanopratines, trattorias de l'Ouest parisien, dernières pépites du quartier Martyrs-Trudaine-Abbesses, ainsi que quelques électrons libres recommandés par de fins pizzavores. Deux gagnantes ex-aequo pour cette spécialité napolitaine: le Bistrot Napolitain (VIIIe) et Pizza Chic (VIe). » Voir le palmarès des pizzas Reine

La meilleure galette complète
Vingt crêperies testées sur un best-seller : la galette complète, fausse ingénue à base de jambon, œuf et fromage. La crêperie gagnante, le Breizh Café (IVe) , où l'on déguste « la crêpe autrement », est à l'image d'une nouvelle génération de crêperies «quali», aux antipodes du rustique bretonnant. » Voir le palmarès des galettes complètes

Le meilleur flan nature
Trouver un bon flan nature relève de l'exploit. Nous en avons testé une vingtaine, collectés chez des artisans boulangers et pâtissiers réputés,sous l'oeil attentif du pâtissier Christophe Felder. A l'instar d'un dessert maison, le flan doit rester rustique, franc en bouche. Un plaisir simple qu'il faut attraper au bon moment car les boulangers sont souvent en rupture dès la mi-journée. Le flan gagnant se déniche à L'Autre Boulange (XIe). » Voir le palmarès des flans nature

La meilleure tartelette citron
Classique parmi les classiques, ce dessert fait partie des préférés des Français. Une raison suffisante pour débusquer les plus savoureuses créations. Vingt enseignes et pâtisseries réputées, qui proposent à l'année des tartelettes au citron, ont donc été testées avec l'aide du pâtissier Christophe Felder. La tarelette gagnante : celle de Carl Marletti (Ve). » Voir le palmarès des tartelettes citron

Le meilleur mojito
Un cocktail djeun's, le mojito ? Pas seulement. C'est l'un des plus demandés dans tous les bars de la capitale, sans exclusive d'âge ou de standing. Pourtant tous nés de la même recette (rhum, sucre, menthe fraîche, citron vert, glace et eau gazeuse), les mojitos ressemblent un peu à ces jumeaux dizygotes : même génétique mais traits différents ! Notre préféré : celui du Bar de l'hôtel Costes (Ier). » Voir le palmarès des mojitos

mercredi 24 juin 2009

Haute Patisserie

Haute pâtisserie : le règne du glam'chic Colette Monsat (Figaroscope)24/06/2009


Le Saint-Honoré à la fraise et au yuzu de Lenôtre pour la Fête des Mères.
Après des années vaporeuses où les gâteaux s'affichaient cérébraux, retour à une pâtisserie plus classique, mais totalement rafraîchie.

Observez les vitrines de nos grands pâtissiers et méditez cette phrase d'Edgar Morin : « La vraie nouveauté naît toujours dans le retour aux sources ! » Sommes-nous entrés, en pâtisserie comme en cuisine, dans l'ère du postmoléculaire ? Les dernières collections des chefs les plus créatifs le laissent supposer.
Viennoiserie au cacao amer chez Ladurée.
Ainsi Pierre Hermé réinterprète-t-il actuellement deux grands classiques : la tarte et le Saint-Honoré. Avec une tendresse particulière pour ce dernier, qui représente, selon lui, l'essence même du savoir-faire pâtissier. D'où ses huit variations sur le thème, dont le Saint-Honoré Satine (pâte feuilletée, pâte à choux caramélisée, crème au cream-cheese, crème de mascarpone au fruit de la passion, compote d'orange et fruit de la passion). Ce qui ne veut pas dire un retour strict aux fondamentaux car, pour lui, « les périodes de création sont toujours riches d'apport et la tradition ne revient jamais ensuite comme avant ».
Signe d'un vrai retour en grâce du Saint-Honoré, il était d'ailleurs proposé à la fraise et au yuzu chez Lenôtre, pour la Fête des mères…
N'allez pas imaginer pour autant que les macarons soient dans les choux. Ils comptent toujours parmi les produits stars mais s'affranchissent de leurs aînés avec de nouveaux parfums et de nouveaux conditionnements. Chez Dalloyau par exemple, ils se réinventent au melon, à la fraise, à l'abricot-riz soufflé ou encore à la pêche Melba pour les beaux jours et, jusqu'au 31 mai dernier, se vendaient par quatre, dans un eat bag du plus bel effet !
L'éclair de la collection printemps-été créé par Christophe Adam pour Fauchon.
Quant à la maison Ladurée, c'est aux codes de la viennoiserie traditionnelle qu'elle s'attaque avec le « Choc'Alléno », qui sera disponible dès la rentrée. Soit un pain au chocolat ou un croissant dont la particularité est d'être en pâte feuilletée à base de cacao amer, le comble de la gourmandise pour Yannick Alléno, le chef triple étoilé du Meurice qui l'a mis au point avec Philippe Andrieu.
Enfin, si Christophe Adam a fait de l'éclair, chez Fauchon , sa principale source d'inspiration, ne cessant de le décliner de façon ludique, sachez que Philippe Conticini (Table d'Anvers, Petrossian…), qui ouvrira début septembre sa Pâtisserie des rêves, planche prioritairement sur le Paris-Brest, le Saint-Honoré, la tarte au citron et l'éclair au chocolat. Mais toujours à sa façon !
ADRESSES
Pierre Hermé, 72, rue Bonaparte (VI e ). Tél. : 01 43 54 47 77.
Lenôtre, 44, rue d'Auteuil (XVI e ). Tél. : 01 45 24 52 52.
Dalloyau, 101, rue du Faubourg-Saint-Honoré (VIII e ). Tél. : 01 42 99 90 00.
Ladurée , 75, avenue des Champs-Élysées (VIII e ). Tél. : 01 40 75 08 75.
Fauchon , 26, place de la Madeleine (VIII e ). Tél. : 01 70 39 38 00.
La Pâtisserie des rêves (Philippe Conticini), 93, rue du Bac (VII e ). Ouverture le 1 er septembre prochain.

mercredi 6 mai 2009

Joyeux Anniversaire à la Tour Eiffel; 120 Ans.

Pour son 120e anniversaire, la Tour Eiffel, le monument le plus visité au monde, se refait une beauté. Une équipe de 25 peintres insensibles au vertige vont appliquer 60 tonnes de peinture "entièrement écologique", sans plomb, sur les 250.000 mètres carrés de surface de la tour parisienne, haute de 324 mètres avec ses antennes.

La "dame de fer" fait peau neuve. A l’occasion des 120 ans de la Tour Eiffel, une équipe de 25 peintres va appliquer 60 tonnes de peinture sur les 250.00 mètres carrés de surface. Un travail long et méticuleux mais sans danger. Les peintres, souvent des alpinistes déjà aguerris, sont équipés de harnais pour travailler sur les poutrelles et utilisent systématiquement des "lignes de vie" (câbles) qui leur permettent de se déplacer en ayant toujours un point d'attache. Leurs pinceaux et brosses sont attachés à leurs bras pour éviter toute chute sur des visiteurs.
La méthode est rigoureuse. Les peintres commenceront par le sommet de la Tour pour terminer à sa base. Pour les zones les plus mise à nu, une couche d'antirouille sera appliquée, avant celle de peinture. Pour le reste de la structure: nettoyage vapeur par haute pression, traitement des défauts, débouchage des trous d'écoulement et application de deux couches de peinture.

"Notre challenge est de repeindre la Tour Eiffel et de l'entretenir en permanence sans jamais la priver des visiteurs du monde entier", a souligné Jean-Bernard Bros, président de la Société d'exploitation de la Tour Eiffel. Ouverte 365 jours par an, la tour parisienne accueille plus de six millions de visiteurs annuels, campagne de peinture ou pas, ascenseurs en réparation ou pas, travaux ou pas.
Un coup de lifting qui ne changera pas sa couleur. Depuis 1968, elle arbore une couleur "brun Tour Eiffel", choisie pour son harmonie avec le paysage parisien. "C'est la couleur qui va le mieux à la Tour Eiffel, sa plus belle robe peut-être, en tout cas c'est ce que les cinéastes, photographes, les amoureux de Paris, les Parisiennes et les Parisiens, tous ceux qui aiment la Tour Eiffel nous disent depuis maintenant 40 ans, nous avons décidé définitivement de garder le brun", a déclaré M. Bros.Pour marquer les 120 ans de son ouverture au public, deux mois après celui de l'Exposition universelle de 1889, une grande exposition aura lieu en mai, un feu d'artifice en juillet. 120 classes d'enfants franciliens seront par ailleurs invitées : une foule d'événements "pour transmettre la Tour aux générations futures".
Source Europe1.fr




© David Wolff - PatrickPlease, ask before use.
Thank you.写真使用の前に聞いてください。

dimanche 3 mai 2009

mercredi 29 avril 2009

Que valent les nouvelles tables ?
Emmanuel Rubin (Figaroscope)29/04/2009


Miniguide des tables parisiennes fraîches écloses. Les meilleures comme les pires. Le goût du neuf noté sur dix.

RÉVÉLATIONS
Yam Tcha : 8/10
Dans un bras mort du quartier des Halles, une table comme un suspense, où une jeune ancienne de l'Astrance signe une cuisine radicale dans sa manière de refuser l'apprêt, tendue à définir l'intégrité du produit. Influence asiatique (ravioles de crevettes, canard de Challans et aubergines à la sichouanaise) délicieusement tiédie par une rare sommellerie des thés.
Yam Tcha , 4, rue Sauval, Ier. Tél. : 01 40 26 08 08. Au déj. env. 30 €. Au dîn., menus à 45 et 65 €.
Issé : 8/10
Jusqu'ici réduit aux monomaniaqueries tempuresques, ce classique nippon devient l'un des repaires de la nouvelle cuisine d'Archipel sous la houlette d'un frais talent, propice à cingler des saveurs, à mi-chemin des sens et du phosphore (œuf mi-cuit au yusu, couteaux et algues aux spaghettis d'agar-agar…).
Issé , 45 rue de Richelieu, Ier. Tél. : 01 42 96 26 60. Carte env. 40- 50€. Formule à 25 €.
Glou : 7/10
Même s'il est, ces derniers temps, quelque peu chahuté par le succès et le vrac pipole, ce bistrot à vins new look figure comme la belle surprise de ce début d'année avec sa gastronomie brut de gueule (jambon ibaïona, lomo bellota, thon fumé de l'île d'Yeu), ses petits plats copineurs et son grand cœur de cave (dont une imparable série de grands crus servis au verre).
Glou , 101, rue Vieille-du-Temple, IIIe. Tél. : 01 42 74 44 32. Formule à 17 € (déj.). Carte env. 25-35 €.Passage 53 : 7/10
S'attabler dans un passage couvert, c'est un peu comme verser dans les surprises de porte cochère. S'en convaincre l'instant de ce pimpant repaire, prodigue à verser ce qu'il faut de sex-appeal aux plaisirs ordinaires.
» Voir notre Haché Menu
Passage 53 , 53, passage des Panoramas, IIe. Tél. : 01 42 33 04 35. Carte env. 40 €. Formule à 19 € (déj.).
Shan Goût : 7/10
Une petite rue sans effet d'entre Bastille et gare de Lyon, une façade timide, une studette de stucs discrets et de lampions légers et la réconciliation soudaine avec le chinois dit de quartier. Celui-là, fringant d'envie, concis dans l'exotisme, tramant classiques épurés, sauces friandes et impeccables inattendus (bouillon de bœuf aux nouilles, poulet à l'étouffé et châtaignes caramélisées…).
Shan Goût , 22, rue Hector-Malot, XIIe. Tél. : 01 43 40 62 14. Carte env. 25-35 €. Menus à 11,80 et 18,80 €.
BISTROTS ET COMPTOIRS
Le Barbezingue : 6,5/10
Après l'Os à moelle, la Cave et les Symples, Thierry Fauché remet le couvert en courant la banlieue. Planqué dans le nulle part d'un boulevard de hasard, ce tempérament de bistrot s'amuse des humeurs pavillonnaires. Au premier étage, table d'hôte et coude-à-coude autour d'un buffet habile à ménager les bonnes franquettes (crudités, charcuteries, cocotte). Quelques marches plus bas, le rez-de-chaussée bistronomique raffine les rustiques et les truculences (bouillon de bœuf crémeux de pignons aillés, poitrine de veau et choucroute de navet…).
Le Barbezingue , 14, bd de la Liberté, Châtillon, 92. Tél. : 01 49 85 83 50. Formule buffet à 17 €. Env. 30-35 € côté bistrot.
Frenchie : 6,5/10
Retour à la case Paname pour un jeune Froggy après passage au Fifteen à Londres (le restau de Jamie Oliver himself). Dans la mouvance des gastropubs d'outre-Manche, la bistrote tutoie ici le cool, le temps d'une double salle soignant joliment la débraille. Cuisine néocanaille franchement bien fagotée (truite fumée, pickles de concombre, espadon, crème de poivron, agneau, pois chiches, tomates, pannacotta rhubarbe et verveine).
Frenchie , 5, rue du Nil, IIe. Tél. : 01 40 39 96 19. Menus à 16 et 19 € (déj.), 27 et 33 € (dîn.).
Le Petit Champerret : 6,5/10
Pendant des lustres de facture gauloise, ce bistroquet retrouve fraîcheur et faconde par le jeu d'une équipée corse, se plaisant à jumeler petits plats de Paris et façons de maquis (poireaux mimosa, hachis parmentier de sanglier, tiramisu au canistrelli).
Le Petit Champerret L, 30, rue Vernier, XVIIe. Tél. : 01 43 80 01 39. Carte. env. 40-50 €. Formule (déj.) à 22 €.
L'Invitation : 6,5/10
Cadre sobre et cuisine de produits à L'Invitation. Crédits photo : Le Figaro
Derrière les bonnes manières du quartier, un bistrot jacteur, activiste, ne se faisant pas prier pour mettre ce qu'il faut d'entrain dans les recettes d'usage (jambon basque des Aldudes, tartare franchement tranché au couteau, fromages made in Alléosse et petits vins bio).
L'Invitation , 82, rue Boileau, XVIe. Tél. : 01 46 47 87 19. Env. 30-50 €. Formules (déj.) à 35 et 42 €.
Café Cartouche : 6/10
Sans lâcher son solide Repaire de Cartouche, Rodolphe Paquin s'offre une petite récréation gouailleuse, agile à exciter le bobo, l'instant d'assiettes bravaches, cocagnes, niaqueuses et nostalgiques (terrine d'agneau aux figues, saucisse flageolets, nougat glacé…).
Café Cartouche , 4, rue de Bercy, XIIe. Tél. : 01 40 19 09 95. Env. 20 € (déj.), 30-35 € (dîn.).
Nominoë : 6/10
Aller simple pour la Bretagne bretonnante avec ce pub conjurant sa taille bigorneau par une sincérité du tonnerre de Breizh. Pas de galettes mais une demi-douzaine de petits plats comme surgis de la rade (palourdes farcies, andouille fumée, far) à faire coulisser de quelques sérieux liquides autochtones (bière Coreff, cola breton, chouchen).
Nominoë , 13, rue Castex, IVe. Tél. : 01 42 72 95 35. Env. 20 €.
Et aussi
La mécanique des solides du Leclou de fourchette (5,5/10. 121, rue de Rome, XVIIe. 01 48 88 09 97, env. 25-35 €), la brave ripaille Abbesses du Mon Oncle (5,5/10. 3, rue Durantin, XVIIIe. 01 42 51 21 48, env. 25-35 €), la bonne gueule anticrise du Petit Ampère (3, rue Ampère, XVIIe. 01 42 27 89 92, env. 15-20 €), l'entrecôte-frites du Relais de Paris (5,5/10. 13, rue d'Odessa, XIVe, 01 43 21 15 70, formules à 16,90 et 24,90 €), un peu de bonne volonté à Balard avec Le Bon Bec (5/10. 235 bis, rue Saint-Charles, XVe, 01 45 54 05 31, env. 30 €), le bof bistrot du Cru Rollin (5/10. 156, avenue Ledru-Rollin, XIe, 01 43 73 72 20. Env. 20-35 €) voire la popote lourdement potache du Bistrot d'à côté (4/10. 18, rue Lalande, XVIe, 01 43 20 00 28, env. 30-35 €).
D'AILLEURS
Caffe dei Cioppi : 7/10
Exit la bergerie à gueule pyrénéo-bastocharde du Brespail, place à cette casa des bienveillances, déléguant à la volée une Italie énergique, juteuse, attachante (risotto potimarron, épaule d'agneau aux carottes, mascarpone et sbrisolana).
Caffe dei Cioppi , 159, rue du Fbg-St-Antoine, XIe. Tél. : 01 43 46 10 14. Env. 25-30 €.

La Piu Grande, petite sœur de la Pizetta de l'avenue Trudaine, élargit le répertoire pizzas. Crédits photo : Le Figaro.
La Piu Grande : 6,5/10
Petite sœur de la très bobo Pizzetta de l'avenue Trudaine. Surtout ne pas confondre l'une et l'autre, celle-ci jouant les glamoureuses et délayant le propos transalpin bien au-delà des seules pizzas (pour autant irrésistibles). Une montée en gamme qui ne justifie pas toujours celle de l'addition.
La Piu Grande , 62, rue Caulaincourt, XVIIIe. Tél. : 01 46 06 29 83. Env. 40-50 €.
Thaïm : 6/10
Boudoir thaï fantasmant à la parisienne les plaisirs de soupettes et d'épices, le curry manucuré et la papaye so pretty.
Thaïm , 46, rue de Richelieu, Ier. Tél. : 01 42 96 5454 67. Formule à 15,50 € (déj.). Carte env. 30 €.
Alice Pizza : 5,5/10
Dans la série des pizzerias nouvelle génération, cette maison vindicative, sincère, désireuse de sortir des calzone du samedi soir, surenchérissant les déclinaisons pour le meilleur et le précieux mais au risque parfois du pire et du ridicule.
Alice Pizza , 4, rue Dancourt, XVIIIe Tél. : 01 42 54 29 20. Env. 30-50 €.
Schwartz's Deli : 5/10
Au cœur de l'historique « Paris ­shtetl », un copié-collé des fameux delicatessen juifs new-yorkais. Rien à redire du côté des calories, tous les basiques du genre s'y accumulent avec plus ou moins de bonheur. Reste un décor qui, à trop vouloir singer le genre, vire un peu à la réplique manière Disney (trop neuf, trop cliché).
Schwartz's Deli , 16, rue des Écouffes, IVe. Tél. : 01 48 87 31 29. Env. 15-25 €.
Et aussi
L'Italie bling de l'Antichambre (6/10. 4, rue du Port-Mahon, IIe. 01 42 66 59 52. Env. 25-40 €), l'appétit ma non troppo d'Il Prezzemolo (6/10. 13, rue Commines, IIIe, 01 42 77 79 25, env. 25-35 €), la Botte classico du Samesa (5,5/10. 13, rue Brey, XVIIe. 01 43 80 69 34, env. 35-60 €), l'abrasif thaï d'À la table de Nouk (5,5/10. 8-10, rue Léopold-Bellan, IIe, 01 40 26 85 16, env. 20-30 €), la Corée sympathique du Rollifornia Gril (5,5/10. 47, bd Henri-IV, IVe, 01 42 74 88 28, env. 20 €) et la même en plus revêche du Jantchi (4/10. 6, rue Thérèse, Ier, 01 40 15 91 07, env. 20 €).
MODES ET MONDAINS
La Société : 7/10
À deux pas du Flore et des Deux Magots, comme un après à Saint-Germain avec cet ultime rebond des Costes, du côté des légendes de grand café. Allure, comestibles et addition, tout y est comme dans la chanson de Vian : affreusement snob ! Autant l'avouer, aussi irrésistible qu'insupportable.
La Société , 4, place Saint-Germain-des-Prés, VIe. Tél. : 01 53 63 60 60. Env. 50-70 €.

Reprise par André et consorts, La Fidélité renoue avec la nuit parisienne. Crédits photo : Le Figaro
La Fidélité : 6,5/10
Ourdie par les désormais barons de la branchitude (André et consorts), cette increvable brasserie (ce fut le fameux KOH des nocturnes eighties) renoue avec les nuits et les faunes, le temps de quelques nourritures néofranchouilles servies sous lambris et plus ou moins bien senties (blanquette d'asperges, pot-au-feu de joue de cochon…).
La Fidélité , 12, rue de la Fidélité, Xe. Tél. : 01 47 70 19 34. Menus à 16 et 21 € (déj.), 26 et 32 € (dîn.).
L'Obé : 6/10
Du plafond au creux de l'assiette, lifting intégral pour cette vieille lady du Crillon qui retombe aussi sec dans ses penchants snobards, ses nourritures promptes à lever les auriculaires (œuf-cocotte écrevisses-tétragone, tourteau gingembre-coriandre, religieuse aux framboises) et ses prix d'avant-Madoff.
L'Obé , Hôtel de Crillon. 4, rue Boissy-d'Anglas, VIIIe. Tél. : 01 44 71 15 15. Env. 100 €.
Cristal Room Baccarat : 5,5/10
Guy Martin (Grand Véfour) chaperonne désormais la très ravageuse cantine cristallo-starckienne. Dommage que les nourritures hautaines se contentent de se mirer au miroir des vanités (trop chiches, trop chères). Portefeuilles sensibles s'abstenir !
Cristal Room Baccarat , 11, place des États-Unis, XVIe. Tél. : 01 40 22 11 12. Env. 100 €.
Thoumieux : 5/10
Reprise d'une brasserie culte des bourgeoisies rive gauche par le binôme Thierry Costes (Hôtel Amour, Georges…), Jean François Piège (Crillon). Le cassoulet est toujours là mais désormais les saint-jacques fricotent avec le cantal, l'endive et l'orange. Pour l'heure, le bancal l'emporte sur le « branchic. »
Thoumieux , 79, rue Saint-Dominique, VIIe. Tél. : 01 47 05 49 75. Env. 40-50 €.
Et aussi
Les costeries du Mon Resto (5,5/10. Au Mon Hôtel, 1, rue d'Argentine, XVIe, 01 45 02 76 76, env. 35-50 €) et les tristes climats d'entre chien et lounge du 93 Montmartre (4/10. 93, rue Montmartre, IIe. 01 40 28 02 23n, env. 40-50 €).
NEO ET CLASSIQUES
Mets Gusto : 7/10
Aux rectitudes des beaux quartiers, un jeune ancien de chez Ducasse ouvre une parenthèse de Riviera. Souple, rafraîchissante, tonique, lisible, tout ce qu'on aime (volaille façon porchetta, pommes roseval farcies, galette de pied de cochon).
Mets Gusto , 79, rue de la Tour, XVIe. Tél. : 01 40 72 84 46. Env. 30-40 €.

L'Atelier Mazarine, une nouvelle adresse germanopratine de qualité. Crédits photo : Le Figaro
L'Atelier Mazarine : 6,5/10
En creux d'un décor singeant gentiment les bohèmes bistrotières, une cuisine volontariste, méritante à sortir des clichés d'air du temps même si, parfois encore maniérée et fébrile à trop flatter la pupille plutôt que le palais (salade de poulpe, cubes de cédrat et purée d'olive, magret de canard sauce aux trompettes, dôme chocolat-framboise).
L'Atelier Mazarine , 43, rue Mazarine, XVIe. Tél. : 01 43 54 12 43. Env. 40 €. Menu (déj.) à 18 €.
L'Orénoc : 5/10
L'excellent chef Claude Colliot parti, cette table de grand hôtel retombe dans ses travers de table d'affaires en lâchant une cuisine de col blanc, tout juste bonne à justifier les notes de frais ou ce qu'il en reste.
L'Orénoc , Hôtel Méridien Étoile. 81, bd Gouvion-Saint-Cyr, XVIIe. Tél. : 01 40 68 30 40. Carte env. 80 €. Menus 35 et 40 €.
Et aussi
La bonne volonté du Marcab (5,5/10. 225, rue de Vaugirard, VIe, 01 43 06 51 66, env. 25-40 €), l'ennui carabiné du Numéro 7 (4/10. 81, avenue Bosquet, VIIe, 01 47 53 01 52, env. 35-40 €), les paresses du Carmine Café (4/10. 73, avenue de Suffren, VIIe, 01 47 34 90 56), l'indigence frimeuse de La Villa Péreire (4/10. 116, bd Péreire, XVIe, 01 43 80 88 68, env. 30-50 €), le retour frileux d'un ex-cador, Gilles Choukroun, au MBC (4, rue du Débarcadère, XVIIe. 01 45 72 22 55, menus à 20 € au déj., 45 et 80 € au dîn.).
CANTINES, DÎNETTES, GADGETS
Chocolaterie Genin : 7/10
L'écrin du nouveau virtuose sucré de la place parisienne et ce sentiment du superlatif à chaque fois que la cuillère vous roule en bouche ses bécots mignards (éclair caramel, entêtante tarte aux noix, millefeuille, ganaches au lait…).
Chocolaterie Génin , 133, rue de Turenne, IIIe. Tél. : 01 45 77 29 01. Env. 10-20 €.
Cantine du Merci : 6/10
Au sous-sol du charity store le plus couru de ce printemps, un réfectoire parfait à déléguer de très saines bouchées vapeur aux becs des serial shoppeuses.
La Cantine du Merci , 111, bd Beaumarchais, IIIe. Tél. : 01 42 77 01 90. Env. 15 €.
58 Tour Eiffel : 5/10
Au premier étage de la tour, une vague tentative à relever d'un cran le genre du self-service. Guère convaincant !
58 Tour Eiffel , Premier étage de la tour Eiffel, Champ-de-Mars, VIIe. Tél. : 0825 56 66 62. Carte env. 25-30 €.
Et aussi
Le Café Francoeur, annexe montmartroise du très bobo Marais Café Charlot (5/10. 129, rue Caulaincourt, XVIIIe, 01 53 28 00 15, env. 25 €) et les attributs melanosporumisés de Truffes Folies (4,5/10. 37, rue Malar, VIIe, 01 44 18 05 41, env. 50 €, formule déj. à 18 €).
ET TOUJOURS
Petite piqûre de rappel au sujet de ces tables ouvertes l'hiver dernier, ­encore fraîches, toujours vives mais déjà loin des rodages.
Le bistronomique : Jadis. 208, rue de la Croix-Nivert (XVe). Tél. : 01 45 57 73 20. Menu-carte à 32 €.
Le bistrot néodrille : Le Beaujolais d'Auteuil. 99, bd de Montmorency (XVIe). Tél. : 01 47 43 03 56. Env. 30-40 €.
Le bobo : La Cantine du Mama Shelter. 109, rue de Bagnolet (XXe). Tél. : 01 43 48 45 45. Env. 40 €.
Le thaï mondain : Oth Sombath. 184, rue du Faubourg- Saint-Honoré, (VIIIe). Tél. : 01 42 56 55 55. Env. 40-70 €. Menus à 28 et 35 € (déj.).

A VENIR : adresses attendues et autres bruits de casseroles
Encore quelques jours et Thierry Costes (Hôtel Amour, Georges…) dévoile l'Arbuci nouveau (rue de Buci, VIe) et le Corso (place Frantz-Liszt, Xe).
Yves Camdeborde ne devrait pas attendre l'été pour chauffer à blanc les humeurs et les apéros de son comptoir, annexe du fameux Relais de l'Odéon (carrefour de l'Odéon, VIe).
Juste avant les vacances, le nouveau Ralph Lauren du boulevard Saint-Germain inaugure bou­tique et food-in-shop (VIe).
En juin, peut-être un restaurant au très arty Espace 104 (5, rue Curial, XIXe).
À la rentrée prochaine, Daniel Rose, jeune Américain mieux que remarqué au Spring (IXe), se dédouble avec une seconde microtable, rue de Bailleul (Ier).
À l'automne prochain, Kaspia et La Maison de la Truffe se bissent, rue Marbeuf (VIIIe), en lieu et place du Vignon.
Au mieux, en fin d'année, le Lyonnais Nicolas Le Bec orchestrera la table de l'Opéra Garnier (Ier).
Le célèbre Hi Hôtel de Nice se dupliquera, rue de Charonne (XIe). Toujours Matali Crasset préposée au design et peut-être une petite dînette à l'appui.
Ultraplébiscitée au Japon, la ­chaîne de restaurants Ippudo, spécialisée dans les ramen (les nouilles à la nippone), s'apprête à investir la capitale avec plusieurs adresses.
Sans oublier de nouvelles tables, de nouveaux chefs et de nouveaux palaces, en 2010, sous estampille Shangri La, Mandarin et Royal Monceau.

lundi 13 avril 2009

How to make Macarons



I can organize Macarons Training in Paris. Please send a mail if interested. Thank you.